Marc Levy must die
Hier, j'ai beaucoup ris quand j'ai lu que le prochain bouquin de Marc Levy s'intitulerait "Un, deux, toi". (je ne sais pas pourquoi ce type m'obsède autant alors que je le déteste)
Hier, j'ai beaucoup ris quand j'ai lu que le prochain bouquin de Marc Levy s'intitulerait "Un, deux, toi". (je ne sais pas pourquoi ce type m'obsède autant alors que je le déteste)
La nuit dernière, j'ai rêvé que je sortais avec Jacques Dutronc.
(Mes parents n'approuvaient pas.
Moi je n'arrête pas d'y repenser depuis)
Hier soir je suis allée à une soirée avec des communicants, des créatifs, des pubards, tout ce que vous voulez.
J'ai applaudi quand Le Grand Chef a été prendre son prix.
J'ai bu du champagne.
Et aussi du Coca-Light.
J'ai mangé des canapés.
Et des macarons.
J'ai hoché la tête sans écouter un mot de ce qu'on me disait.
J'ai fait des "oui! oui!", des "oh" et des "ah".
Ah, et on m'a aussi proposé un after aux Chandelles.
J'ai refusé parce qu'y avait une redif' de Joséphine Ange Gardien sur TMC.
L'autre jour j'envoie un SMS guilleret à mon ami Guillaume. Il me répond "T'es bourré ?". Aujourd'hui, j'engage une conversation avec ma pote Hélène. Elle me demande si je suis défoncée. (...)
Je commence une liste de 101 "I like".
La tarte au citron meringuée gargantuesque
du Loir dans la théière.
(3 bis rue des rosiers
75 003 Paris)
Ce matin, toute guillerette à l'idée de passer la journée dans mon-nouveau-bureau-sans-les-comptables, je quitte l'appart' en claquant la porte derrière moi.
Il ne me faut pas longtemps pour réaliser que les clefs sont à l'intérieur. Moi, je suis sur le palier.
Ni une, ni deux, je me mets à pleurer.
La journée avait bien commencé, j'étais même en avance et mon horoscope suraufeminin.com me prédisait une grosse rentrée d'argent et l'amour au coin de la rue.
Je me ressaisis quand même. Je décide d'appeler l'autorité parentale (je suis une femme, et par conséquent dotée d'un cerveau en fromage blanc, incapable d'agir par elle-même).
Mon portable est AUSSI à l'intérieur.
« Toute la vie j'ai eu peur. Et je ne voulais pas que tu aies peur. »
Une éducation, Lone Scherfig
Un jour j'expliquais à mon copain de l'époque que Guillaume Musso était un connard avec son air poupin et son regard satisfait en quatrième de couv' de ses bouquins. Puis je lui ai demandé qui pouvait bien être assez décérébré pour aimer ce ramassis de niaiseries.
Il m'a répondu « Ben moi ».
On s'est quittés.